Média | Théâtre |
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Genre | Comédie dramatique |
Public | Adultes - Adolescents |
Comédiens | Interprétable par : Adultes - Adolescents |
Rôles1 | 7 rôles : 4 rôles féminins, 3 rôles masculins. |
Distribution | - 4 femmes - 3 hommes Cette distribution correspond à celle de la création originelle. |
Durée2 | 100 minutes environ |
Thème | Violence routière, comportements, respect, responsabilité politique |
Décor | La salle destinée au cours de code d'une auto-école. Deux portes débouchent sur la salle de code. La première, à jardin, mène aux toilettes. La seconde, à cour, communique avec le hall d'accueil. Ce dernier contient également le bureau de l'enseignante. La salle de code est très moderne dans son ameublement et sa décoration : couleurs vives, lumière intense. À cour, une table sert de desserte et à jardin est installé un simulateur de conduite. Entre les deux, sur le mur au lointain, est fixé un grand écran et, dos au public, sont disposés les sièges des élèves. Ces sièges sont équipés de boîtiers électroniques de réponse montés sur flexible. Sur un mur, une affiche valorise un slogan : « Bien conduire c'est bien se conduire ! » La diffusion des clips vidéo nécessite un vidéoprojecteur. Le mobilier du ministre (voir scène 2), luxueux et chaud, comprend : - Son bureau (pouvant être une table habillée d'un dessus vert et d'une jupe longue en tissu cramoisi). - Un meuble bar, bas. - Un divan assorti à la jupe du bureau. - Et des accessoires : tableaux (vantant chère et chair), lampe de bureau en opaline verte, téléphone luxueux, etc. Les décors peuvent être suggérés plutôt que fidèlement reproduits. Certains d'entre eux peuvent se situer devant le rideau de scène (ou un tulle). |
Synopsis | Le grave sujet de la violence routière traité avec humour. Nina l'étudiante brillante, Stéphanie la lycéenne romantique et Yves le collégien roublard apprennent qu'ils sont présélectionnés au concours « Bonne route ! » Ils devront défendre leurs projets de sensibilisation à la sécurité routière devant un jury. Yves propose au jury que des slogans d'incitation à la prudence soient affichés au pied de chaque feu tricolore. Il utilise volontiers les rimes : « Un verre de trop ? Les vers auront ta peau ! » Stéphanie, beaucoup plus romantique, souhaite diffuser sur tous les ordinateurs des clips vidéo utilisant la corde sensible de l'amour. Ses images, suggestives, mêlent avec violence amour et mort. Le projet de Nina, extrême et cruel, est cependant choisi par le jury. Madame Bruchette, coupable du délit de très grand excès de vitesse, teste douloureusement la méthode de réhabilitation des contrevenants concoctée par Nina... |
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